L'Internet des objets (idO) ouvre les portes d'une nouvelle ère de la numérisation. Les trois facteurs clés sont:
Cette nouvelle ère de la numérisation par l'Internet des objets a déjà touché le citoyen depuis bien longtemps. Le Smartphone est un réalité un terme erroné puisque ces appareils sont des dispositifs de gestion de la vie avec lesquels nous ne faisons pas que discuter sur le plan social, mais qui nous aident au quotidien, que ce soit pour faire les courses, pour passer des commandes, pour s'occuper ou s'organiser.
Cette nouvelle dimension numérique et l'Internet des objets ont envahi l'économie et la majorité des entreprises sont sur le point d'y réagir de manière stratégique. Et quiconque ne réagit pas de manière proactive à ce défi, court le risque de perdre des parts de marché, voire de disparaitre complètement de la circulation.
En effet, l'IdO remet les processus commerciaux de tous les secteurs en question. De nouveaux fournisseurs externes au secteur envahissent le marché et défient les entreprises établies. Qui aurait pu prédire que des sociétés telles que Kodak ou Nokia allaient disparaitre? L'ioD permet de nouveaux modèles commerciaux et de nouvelles alliances.
Par conséquent, les villes doivent désormais emboiter le pas, car elles forment l'espace vitale pour la qualité de vie, pour les emplois et finalement pour la réussite économique.
Les villes et leurs entreprises ont déjà entrepris beaucoup de choses au cours des dernières décennies en matière d'informatisation des administrations. Désormais, il s'agit de rassembler les données existantes, de collecter les nouvelles données, de relier les systèmes entre eux et avec l'infrastructure et d'en obtenir un système global.
Ce sont là les questions clés auxquelles la SmartSuisse souhaite répondre.
Professor at the Massachusetts Institute of Technology (MIT)
«The best role governments can play, is more to allow citizens to take action, is really more to create a platform so the citizens themselves can force urban innovation. And I think it's more like thinking bottom up instead of top down.»